Bienvenue dans l'univers d'elsa
Artiste et graphiste, j’ai été directrice artistique pendant 8 ans à National Geographic France.
Mon travail est fortement influencé par mon amour pour le Japon.
Tout débute en 2019, je retrouve mon fils Tom parti en Erasmus à Osaka, au Japon. Tokyo, Kyoto, Hiroshima, Nara, Nikko, Kobe, Kagoshima... Partout de l’histoire et de la beauté, partout du sublime et un savoir-faire bluffant ! La rencontre déterminante a eu lieu à Osaka, dans les allées du Shi Tenno-ji, un temple millénaire qui accueille un étonnant marché aux puces. Là, par centaines, posées sur des tréteaux ou entassées dans des caisses, je découvre les kokeshi, ces poupées traditionnelles japonaises en bois.
Mon travail est fortement influencé par mon amour pour le Japon.
Tout débute en 2019, je retrouve mon fils Tom parti en Erasmus à Osaka, au Japon. Tokyo, Kyoto, Hiroshima, Nara, Nikko, Kobe, Kagoshima... Partout de l’histoire et de la beauté, partout du sublime et un savoir-faire bluffant ! La rencontre déterminante a eu lieu à Osaka, dans les allées du Shi Tenno-ji, un temple millénaire qui accueille un étonnant marché aux puces. Là, par centaines, posées sur des tréteaux ou entassées dans des caisses, je découvre les kokeshi, ces poupées traditionnelles japonaises en bois.
Les Kokeshi du marché aux puces d'Osaka.
Aujourd’hui, sous l’identité graphique Shikeko, je m’inscris dans la mouvance des kokeshi créatives. Réalisée en bois de hêtre, peinte à la main puis patinée, chacune de mes poupées est unique !
Je réalise aussi des dessins et des aquarelles aux inspirations multiples.
Je réalise aussi des dessins et des aquarelles aux inspirations multiples.
Ma Kokeshi rapportée du Japon.
L'histoire des Kokeshi
Les kokeshi sont des poupées traditionnelles japonaises constituées d’une ou de deux pièces de bois : une tête assemblée à un corps souvent cylindrique.
Elles ont été créées à la fin de l’ère Edo (1600-1868) par les artisans du bois (kiji-shi) de la région de Tôhoku, au nord de Honshu.
Leur origine n’est toujours pas clairement établie : on les offrait en cadeau aux enfants, en hommage aux enfants disparus, pour déclarer ses sentiments ou en guise de porte-bonheur selon les théories.
Leur production s’est ensuite rapidement diversifiée et étendue à tout le Japon sous diverses appellations. L’utilisation du nom «kokeshi» date de 1940.
On dénombre onze styles différents de kokeshi traditionnelles, selon leurs caractéristiques artistiques particulières à chaque région (traits multicolores, fleurs de chrysanthèmes, forme du corps, expression du visage...).
Les essences de bois principalement utilisées dans la réalisation des kokeshi sont le cerisier, le poirier, le cornus et l’érable.
Elles ont été créées à la fin de l’ère Edo (1600-1868) par les artisans du bois (kiji-shi) de la région de Tôhoku, au nord de Honshu.
Leur origine n’est toujours pas clairement établie : on les offrait en cadeau aux enfants, en hommage aux enfants disparus, pour déclarer ses sentiments ou en guise de porte-bonheur selon les théories.
Leur production s’est ensuite rapidement diversifiée et étendue à tout le Japon sous diverses appellations. L’utilisation du nom «kokeshi» date de 1940.
On dénombre onze styles différents de kokeshi traditionnelles, selon leurs caractéristiques artistiques particulières à chaque région (traits multicolores, fleurs de chrysanthèmes, forme du corps, expression du visage...).
Les essences de bois principalement utilisées dans la réalisation des kokeshi sont le cerisier, le poirier, le cornus et l’érable.
AQUARELLES AUX MULTIPLES INFLUENCES
De nombreux univers artistiques inspirent mon travail : la peinture et la photographie contemporaine notamment, mais aussi les cartes postales et les photographies anciennes, des affiches vintage en provenance de Chine ou du Japon, ou encore la culture manga et kawaï.
Dans les travées du marché aux puces d’Osaka, j’ai également été émerveillée par les monticules de kimonos anciens en soie aux motifs recherchés et aux couleurs encore resplendissantes posés à même le sol.
Dans les travées du marché aux puces d’Osaka, j’ai également été émerveillée par les monticules de kimonos anciens en soie aux motifs recherchés et aux couleurs encore resplendissantes posés à même le sol.
J’en ai rempli une valise et, depuis, ils viennent enrichir mon travail de leur incomparable touche d’originalité.
